Comment obtenir un visa pour Madagascar ?

Voyager à Madagascar vous donne des expériences pour la vie, je pense que tous ceux qui y vont peuvent être d’accord, je considère ce voyage comme l’un des meilleurs que j’ai fait et les raisons en sont plusieurs. La destination offre des environnements alternatifs, une vie animale et végétale unique et une culture passionnante aussi loin que possible de ma banlieue de Stockholm. Le pays est vaste et pour avoir une sorte de vue d’ensemble, nous restons dans le nord de Madagascar en mettant l’accent sur la nature et les expériences. Avant mon voyage, j’avais un grand plan pour mettre à jour le blog tous les jours, mais quand tout s’est résumé, l’accès limité à Internet m’a mis l’accent sur l’expérience du voyage sans mises à jour constantes dans le cyberespace. En revanche, j’ai pris note avec diligence dans mon journal brun, ce qui a donné lieu à un guide de voyage plus approfondi dans le pays, en plus de mon billet sur le voyage à Madagascar :

Guide de voyage Madagascar : le huitième au monde

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Voyager à Madagascar : mon voyage jour après jour

Notre voyage à travers le nord de Madagascar. #Dag 1 : (samedi 9 décembre) Stockholm — Antananarive Les préparatifs de ce voyage se sont déroulées plus ou moins tout au long de l’automne et il y avait eu une récolte de courriels entre moi et les organisateurs du voyage de presse actuel avant le départ. Voyager à Madagascar nécessite leur planification (et leur bordereau de colisage !) et quand j’ai pris beaucoup de temps sur l’avion matinal d’Arlanda à Paris, je suis plein d’anticipation.

Le vol vers la capitale malgache Antananarivo, ou « Tana » comme la plupart des gens appellent la ville, devient une histoire fluide avec une escale à Paris. La seule fumée dans la tasse, c’est que j’arrive à me réserver à la mauvaise date pour la nuit de l’hôtel avant le vol matinal à Arlanda et que mon sac à dos enregistré n’apparaît jamais sur le coffre de Tana, mais la joie de voyager à Madagascar. ne se laisse pas entraver de telles pétitesses. Mes compagnons de voyage et moi (deux journalistes de voyage de Norvège et d’Angleterre respectivement) sommes très fatigués lorsque, après d’innombrables heures de déplacement, nous nous enfonçons dans un lit d’hôtel à San Cristobal, un hôtel relativement récemment ouvert et frais situé juste à côté de l’aéroport.

En savoir plus :

• Jour de départ contre Madagascar

#Dag 2 : (dimanche 10 décembre) Antananarivo — Diégo Suarez J’arrive à dormir quatre heures avant qu’il ne soit temps de me lever, mais avec un réalignement du temps de plus de deux heures, je me sens encore étonnamment frais. De plus, mes bagages perdus parviennent à arriver à l’hôtel à temps avant le prochain vol. Parce que les horaires sont serrés et que les routes sont vraiment mauvaises, nous prenons un vol domestique (Air Madagascar) entre Tana jusqu’au nord de Madagascar.

Après un vol d’un peu plus de deux heures, nous atterrissons à l’aéroport Diégo Arrachart après avoir eu a attendu longtemps et bien le vol retardé. On nous apprend rapidement une expression en Malagassique dont je profite tout au long du voyage : « Mora mora » (ce qui se traduit par « lentement »). Il n’y a apparemment aucune bizarreries si le vol se déroule 30 minutes après l’heure de départ, 30 minutes avant (!) heure de départ ou pas du tout. Il n’y a pas besoin de stresser, Mora Mora !

Lorsque nous débarquons, nous arrivons dans le salon VIP pour attendre nos bagages et déjà ici, le bar est prêt pour le reste du voyage quand il s’avère que l’homme assis avec sa famille dans le salon est « chef de tribu » pour l’une des dix-huit tribes/groupes folkloriques de Madagascar. C’est indéniablement solennel de saluer ce groupe.

Pain de sucre, ou « Nosy Lonjo » en Malagassien. En partant de l’aéroport, nous passons devant un pic ressemblant à une pointe de sucre, qui porte le nom de « pain de sucre ». L’île est l’un des nombreux saints ici, à Madagascar, la foi fait partie intégrante de la culture et les ancêtres jouent un rôle très important. Notre premier arrêt sera un déjeuner à l’hôtel Badamera, où nous goûterons également au street art local et aux plages de sable fin de Madagascar.

Les discussions à la table du déjeuner sont devenues nombreuses et intéressantes, je découvre, entre autres, que l’année record de Madagascar pour accueillir les touristes était d’environ 400 000 invités. Cependant, l’épidémie de peste pulmonaire cette année a durement frappé les chiffres de cette année. Parce que oui, la peste se produit à Madagascar et j’ai longtemps hésité en toute honnêteté à savoir si j’oserais partir ou non. Il n’est pas évident de se rendre à Madagascar après une épidémie de peste. Au lieu de lire les délicieuses manchettes des tabloïds sur les « grèves de la maladie médiévale », j’ai eu un contact étroit avec mes contacts sur place et j’ai vérifié trois fois les informations sur l’application Resklar d’UD, qui a noté qu’aucun cas de touristes n’a souffert de peste après un voyage à Madagascar. Cette information, combinée à une constatation selon laquelle la maladie est traitée par un traitement antibiotique et une conversation rassurante avec un médecin de ma clinique de vaccination, m’ont permis de me sentir suffisamment en sécurité pour m’éloigner de toute façon.

Après le déjeuner, nous traversons le paysage en 4×4 et faisons une halte rapide à un match de lutte local où l’adrénaline s’écarte à la fois les participants et le public. La traction à quatre roues motrices sur les voitures devient notre secours alors que nous quittons finalement la route principale et empruntons des routes tortueuses et ombragées en route vers Jungle Park, qui est notre hébergement pour la nuit. Ici, je prends ma cueillette et j’emménage dans une petite maison de schtroumpflike aux angles les plus bizarres, aux grinkies et aux touches intérieures passionnantes. C’est exotique et totalement différent de tout ce à quoi je suis habitué. À ma grande chance, nous sommes accueillis par une bande de lucioles clignotantes chauffées lors de notre promenade nocturne. zone de camping.

Lagom jusqu’à notre retour au camping après avoir repéré certaines des centaines d’espèces de lémuriens du pays, le personnel allume des lampes au kérosène qui illuminent le petit chemin menant à ma maison de schtroumpf caractéristique. Une humidité élevée et une chaleur étouffante combinées à des sons extérieurs à mon petit rampe au milieu de nulle part n’est pas une recette brillante pour un sommeil nocturne réussi.

En savoir plus :

• Jungle Park : aventures d’éco-pensée et d’hébergement dans la jungle de Madagascar

#Dag 3 : (lundi 11 décembre) Montagne d’Ambre J’ai le temps de me réveiller vingt fois avant que la cloche ne sonne à 5 h et il est temps de prendre quelques heures de requin avec notre guide. Nous nous faufilons sur le stock et le rock lors du « Parrot’s Canyon Tour ». Les couleurs sont intenses et les sons des insectes et des coings sont palpables. Le but de la randonnée est Parrot Valley, une grande vallée où les perroquets volaient dans d’innombrables quantités. Nous en voyons quelques clignoter parmi les arbres, ce qui est suffisant pour que je sois satisfait. Sur le chemin du retour à Jungle Park, je constate avec une affection mêlée d’horreur que je suis à un demi-mètre de marche sur un grand bateau. Voyager à Madagascar s’avère un peu excitant, devinez si le pouls augmente ! ?

Après le petit-déjeuner, nous nous dirigeons vers la ville portuaire d’Antsiranana (la ville s’appelait Diego Suarez jusqu’en 1975), qui est complètement différente du requin de ce matin dans la nature sauvage. Sur le marché local, ce sont des morceaux de viande sciés, des tripes sont éviscérées, des épices hachées et négocient toutes sortes d’épiceries pour que ce soit délicieux.

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Les couleurs des vêtements féminins contrastent vivement avec la révélation des stocks vêtus de noir en hiver…

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… et les odeurs des produits sur le marché sont aussi intenses que les couleurs des femmes sur les vêtements. Après avoir eu nous nous promenons sur le marché que nous nous dirigeons vers la petite communauté de Joffreyville. Le rythme baisse et le climat est nettement plus agréable. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi les Français ont choisi de s’installer ici lorsqu’ils sont arrivés ici à la fin du XIXe siècle. Après le déjeuner au Relais de la Montagne d’Ambre, dirigez-vous vers le parc national de la Montagne d’Ambre , l’un des 48 parcs nationaux de Madagascar. Ce parc ne compte pas moins de six lacs, nous avons le temps de jeter un coup d’œil à l’un d’eux, puis de nous rendre à une cascade de mafia. Le microclimat est agréable et rafraîchissant et le trek est finalisé de la meilleure façon en voyant une vingtaine de lémuriens se frayer un chemin à travers la canopée. Par la suite, il est temps de sauter à nouveau dans nos 4×4. Il nous faut trois heures pour rouler à moins de 8 km. Les routes de Madagascar sont en très mauvais état.

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Notre guide Christophe appelle les trous dans les routes pour « nids d’éléphants » : « les trous dans les routes sont si grandes que les éléphants peuvent s’allonger là et dormir ». Enfin, nous atteignons l’objectif final de la soirée : notre hébergement au Black Lemur Camp et une brève visite du village voisin d’Anjahakely. Avant le coucher, nous aurons un autre requin sous la forme d’une randonnée nocturne d’une heure où le son des cigales est presque assourdissant.

#Dag 4 : (mardi 12 décembre) Ankarana — Iharana Le sommeil n’est définitivement rien que je privilégie pendant ce voyage. À 04h45, il est temps de nous lever pour faire quelques heures de randonnée dans l’espoir d’avoir un aperçu des lémuriens noirs. La forêt tropicale est dense, la chaleur étouffante et le trekking le plus difficile à ce jour. Juste au moment où nous sommes prêts à abandonner et à revenir en arrière, le guide s’arrête et écoute. Et vous regardez — tout un tas de lémuriens à fourrure noire épaisse sont assis sans problème dans les arbres qui nous regardent. Magie naturelle !

Après le petit déjeuner, nous courons encore plus loin routes ombragées, cette fois avec le parc national d’Ankarana ****13Black Lemur Camp explique le nom ! en vue. Cette forêt est différente de la forêt tropicale étouffante que nous avons vue auparavant : aérée et bien entretenue avec des couleurs vert vif chatoyantes. Nous y allons et nous y allons, en un peu plus de trois heures, nous rencontrons un rondvansmangust sans incruste et des lémuriens couronnés (ou makis de couronne comme on les appelle aussi). J’adore avoir un aperçu de tous ces animaux étranges, mais le point culminant de la journée sera la visite des Tsingy d’Ankarana. Le calcaire gris a été façonné par l’eau et le vent en formations majestueuses et pointues…

Tsingy d’Ankarana. … formant un énorme paysage semblable au Seigneur de l’anneau devant nous. J’ai immédiatement fait le lien avec Bryce Canyon dans l’Utah, bien que les couleurs soient complètement différentes.

Photo : Christophe Rajaomarivelo À la fin de notre randonnée, il commence le tonnerre et jusqu’à ce que nous déjeunons, la pluie commence à s’écrouler. J’essaie de digérer les inpressions de la nature se demande quand nous prenons un repas traditionnel au restaurant Chez Laurent. Riz, sébu (réponse du pays à nos vaches) et légumes — la faim se rend palpable après toutes nos strapatses pendant la journée. Depuis le restaurant, nous poussons à une heure de route jusqu’au camp Iharana Bush.

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Les gens agitent dans les villages au fur et à mesure que nous passons et nous nous arrêtons pour saluer. Lorsque nous arrivons enfin au camp Iharana Bush, je suis montré dans un grand bungalow en bois avec terrasse et vue sur les paysages de Tsingy et je prends la meilleure douche du voyage. Là, puis je débarque pour de vrai — les gravures commencent lentement à se fondre. Après le dîner, je rampe sous ma moustiquaire et je reçois le spectacle d’ombre de toute une vie lorsque je vois les lézards pris une embuscade pour les insectes sur le toit de ma moustiquaire. La nuit, je me réveille du fait que non seulement moi-même, mais aussi mon estomac, je me suis rendu compte que je suis à Madagascar. Il n’y aura pas beaucoup de sommeil cette nuit-là (non plus).

#Dag 5 : (mercredi 13 décembre) Ankarana Les villages voisins prennent vie jusqu’à ce que le soleil se lève au fourré 05. Nous nous occupons des heures avant que le soleil commence à frire, ce jour-là, une balade à vélo dans les paysages est prévue.

Rythmiquement et méthodiquement, nous parcourons le paysage…

… et les séances de photos magiques qui se rachantent mutuellement. La balade à vélo se termine de la meilleure façon pour ma part par un arrêt dans le « grand village » où nous nous installons dans un restaurant local et commandons une tasse de thé. Les enfants et les vieux viennent et échangez des friandises tandis que la vie se déroule comme une promenade dans le village. Les coqs aiment la vaisselle, les bœufs tirant et les enfants qui rentrent de l’école. Mon entreprise fait du vélo pendant que notre guide Christophe me rejoint au camp. Je dois me rattraper après une nuit de sommeil extrêmement faible. L’énergie est nécessaire, après le déjeuner, c’est l’heure d’une nouvelle aventure.

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Nous sommes partis sur un Un requin qui dure plusieurs heures contre les falaises de calcaire gris sur notre « circuit Tsingy Tsingy ». Le vernis sueur et il s’applique au maintien de la langue dans la bouche alors que nous remontons lentement mais sûrement les falaises escarpées. Pour atteindre le sommet, nous devons passer par un système de grottes. Alors que j’allume la lampe de la chaudière et que je me faufile dans l’obscurité, je ne peux m’empêcher de rire de notre petit train de Lucia qui brille le chemin à travers les grottes, jour de Luciada dans la gloire. Le système de grottes est ouvert depuis 2013 et l’expérience ici sera l’une de mes trois meilleures expériences durant le voyage.

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Nous pouvons prendre des pauses indispensables pendant notre aventure et arriver à notre vue jusqu’au coucher du soleil. Les autres bols de champagne, je mange des canapés et la soirée se termine par un moment magique à côté où il s’avère qu’un couple de lémuriens est assis et harcelant juste à côté de notre vue. C’est comme tiré d’une scène de cinéma !

La deuxième nuit au camp d’Iharana Bush, les insectes vont à la banane. Malgré ma toile d’insectes, les petites mouches microscopiques me regardent et soudain l’exotique ne se sent plus aussi exotique. Nous quittons notre camp de brousse et nous nous dirigeons vers la communauté d’Ambilobe #Dag 6 : (jeudi le 14 décembre) Nosy Be , où nous nous arrêtons à Chez Irma et prenons un petit-déjeuner traditionnel de Madagascar. Je me suis taillé avec joie sur du pain fraîchement crémeux, de la bouillie de riz et une grande tasse de citronnelle.

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Après un copieux petit-déjeuner, nous sautons à nouveau dans les voitures — cette fois-ci vers la plantation de cacao Ambanja et Millot.

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Pour la première fois de ma vie, je serai autorisé à visiter une plantation de cacao, dont j’ai rêvé ! Je fais une balade privée dans toute la plantation et je me sens comme un enfant le soir de Noël. Je craque des haricots de chocolat fraîchement séchés sur des rubans courants et je mâche en moi les haricots forts, lourds et presque fumés goûter.

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goût de l’enveloppe réelle autour du haricot avant qu’il ne soit séché a un caractère complètement différent, léger et léger. Après la visite de la plantation et un autre grand repas festif, nous nous dirigeons vers Ankify Le …

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… où un voyage en bateau vraiment fragile nous amène à Eden Lodge. Cette tente de bungalow ressemblant à un safari est un véritable paradis où je peux me plonger dans la mer tempérée de la salle de bains pour la première fois pendant mon voyage. C’est comme un baume pour l’âme et c’est encore mieux quand on voit un double arc-en-ciel au coucher du soleil. Il est impossible de ne pas établir de parallèles avec les plages de Thaïlande que j’apprécie tant. Après l’effraction de l’obscurité, nous nous préparons pour la dernière promenade nocturne du voyage à la recherche de lémuriens et d’autres animaux. Dans le tibia de la lampe de la chaudière, on dirait que tout le chemin est étincelant de diamants — c’est un spectacle surréaliste qui s’avère finalement être le regard des araignées nocturnes qui reflété dans le tibia de la lampe de la chaudière. Voyager à Madagascar offre de nombreuses surprises !

En savoir plus :

• Plantation de cacao à Madagascar : plantation de cacao Millot

#Dag 7 : (vendredi 15 décembre) Nosy Be — Antananarive En ordre clair, je me réveille avant que la cloche ne sonne et je fais une promenade matinale le long de la plage. Nous avons décidé de faire de la plongée avec tuba à 6 ans dans l’espoir de voir une bande de tortues de mer qui semblent durer à l’extérieur de l’Eden Lodge. La visite n’est pas de notre côté, mais nous faisons un tour et laissons notre hors-bord nous emmener dans un lieu de plongée avec tuba à proximité. Ici, il y a des poissons de toutes les couleurs et de toutes les formes pour qu’il soit suffisant et encore. Cependant, les coraux ont l’air fatigués et la visibilité n’est pas excellente, mais la plongée avec tuba atteint définitivement un niveau approuvé par rapport à mes autres expériences de plongée avec tuba dans le monde.

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Après la plongée avec tuba, nous faisons une balade en bateau tranquille sur une seconde à côté de l’eau glacée miroir pour l’île de Nosy Comba et plus précisément…

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… un verre de bienvenue au Tsara Komba Lodge. Cet établissement serait une recommandation évidente si vous prévoyez de voyager à Madagascar lors d’un voyage de mariage. Calme et isolé avec une vue irréaliste sur la mer depuis la falaise sur laquelle repose le Tsara Komba Lodge. Les détails artistiques donnent à la propriété une touche unique et le travail de durabilité est un élément important même de cet hébergement (ainsi que plusieurs autres lodges que nous visitons pendant le voyage, plus d’informations dans un post ultérieur).

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Tsara Comba Lodge travaille en étroite collaboration avec le village voisin du village d’Antrema que nous pouvons également visiter. Ladom jusqu’à ce que nous ayons mangé le dîner le plus délicieux, la cuisine ici est essentiellement autosuffisante avec des cultures de son propre jardin, enfonçant des nuages sombres. Nous vivons une expérience d’horreur dans la navigation de plaisance à travers les orages et la pluie jusqu’à l’île de Nosy Be et son lieu principal qui s’avère à juste titre. Hot Hell-Ville Le . Depuis le port, nous nous dirigeons directement vers nos hôtels respectifs. Après un dîner au Nosy Be Hotel, je commence à me sentir étourdi et étourdi — et lorsque j’ai fini par atterrir dans mon lit d’hôtel à l’hôtel Vanila, je suis totalement occupé. Un programme incroyablement intense combiné à un estomac qui ne veut pas vraiment s’habituer à la culture alimentaire de Madagascar commence à faire des péages, les voyages à Madagascar ne sont pas seulement des forêts d’or et de verdure.

En savoir plus :

• Une semaine d’île complète parmi les lémuriens, la forêt tropicale et les camps de brousse

#Dag 8 : (samedi 16 décembre) Antananarivo — Stockholm Le dernier jour à Madagascar, il est prévu d’explorer Nosy Be un peu plus près. Mon bon sens me dit de rester à l’hôtel et de me reposer pour le long voyage du marathon de retour en Suède, que le voyage à Madagascar a fini par prendre la forme d’une privation de sommeil et de troubles de l’estomac. Bien qu’il ait manqué quelques belles sorties C’est probablement un geste intelligent.

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Je reste à l’hôtel et je me couche à l’ombre des palmiers qui se balançaient, j’ai du mal à imaginer un meilleur endroit pour la détente et la récupération que cela.

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Prévoyant de voyager à Madagascar pour profiter de vacances sous forme de soleil, de bains et de plages, Nosy Be est une excellente option, mais pour ma part, j’avais définitivement combiné un tel séjour insulaire avec une aventure sur le continent de Madagascar.

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Après quelques heures de repos, il est temps de commencer à préparer le voyage à la maison. Avec une lourde charge de linge sale dans les sacs et un tas de souvenirs inoubliables à traiter, je suis prêt à monter dans notre bus de transfert à l’aéroport de Nosy Bes Fascène pour aller à l’aéroport de Nosy Bes Fascène pour aller à l’aéroport continental d’Antananarivo. Le cercle est fermé lorsque nous nous arrêtons dans les hôtels de San Cristóbal pour dîner. C’est ainsi que le même hôtel que nous avons dormi la première nuit où nous avons atterri. Pensez qu’une bonne semaine peut ressembler à une éternité entière !

#Dag 9 : (dimanche 17 décembre) Antananarivo — Stockholm À la nuit du fourré 02 vers dimanche, l’avion de Tana revient à Paris et presque un jour plus tard, j’atterris à Arlanda (et en prime mon sac à dos à carreaux arrive tout le long sans strul, hourra !). Voyager à Madagascar est une expérience inoubliable à tous les égards, surtout lorsque le voyage se termine par ma famille à la gare.

Mais ce n’est que des forêts vertes et vertes pour se rendre à Madagascar ? Non, bien sûr que non. Le pays connaît des problèmes majeurs de pauvreté (90 % de la population vit avec moins de deux dollars par jour !) et la rumeur dit que de grandes parties du système sociétal sont corrompues. Cependant, je peux constater que nous, Suédois, avons beaucoup à apprendre de la façon dont les gens considèrent la famille et la vie en général. Plus d’informations à ce sujet à l’avenir !

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Êtes-vous ? curieux de savoir comment nous avons vécu ? Vous trouverez ici un post d’avis contenant des conseils d’hébergement pour Madagascar.

Le voyage à Madagascar était un voyage de presse organisé par le CBI. Plus de lecture sur le voyage en plus de mon post « Voyager à Madagascar : mon voyage jour après jour » vous êtes dans la catégorieMadagascar.